À PROPOS

Les Carnets des Mondes Anachrones sont tirés de véritables voyages dans le temps qu’a effectués le graveur Jean-José Ferreira-Lopès en marge de son art premier. Déclenchés par la rencontre d’une ancienne encyclopédie Larousse et par l’aura des collages de Max Ernst, ils sont le fruit d’un entre-temps qui puise autant dans l’imagerie de la fin du XIXe siècle que dans les technologies du XXIe.

C’est en chinant de vieux dictionnaires que l’inventeur des Mondes Anachrones a vu germer ses premières idées. L’avait frappé la remarquable homogénéité des illustrations encyclopédiques dans la période précise d’une quarantaine d’années précédant la généralisation de la photographie. La fin du XIXe siècle et le début du XXe étaient l’époque de la grande aventure de la gravure sur bois. La quasi-totalité des visuels publiés alors empruntaient à cette technique, générant une grande harmonie de trait.

Fort de cette observation, Jean-José Ferreira-Lopès a entamé à l’aube du troisième millénaire un minutieux travail de collecte assisté des outils numériques modernes. Déconstruisant d’abord, il a prélevé les morceaux de machines et d’objets, de végétaux ou d’animaux, les organes, pièces mécaniques, morceaux d’armure ou éléments architecture qui ont nourri son imaginaire. A la façon d’un bienveillant Dr Frankenstein, il a reconstruit par collage numérique des créatures, engins ou architectures à la fois futuristes et surannés qu’une drôle de poésie anime. Il dévoile pour la première fois le contenu de ses carnets.

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